Un petit bilan réactualisé du blog, après celui de son 1er anniversaire, s'imposait avec le changement d'époque que nous subissons, et ce 300e post sur ce site. Il était donc temps de se reposer les questions d'où on est et où on va, tout en sachant que c'est un peu la nature même de cette aventure sur le web.
2 mois et demi d'inspiration
Parmi les éléments importants depuis l'été, il faut signaler le développement d'un thème local compiégnois, dont le dossier accessible ci-à gauche va bientôt se refermer un temps. Evidemment, il y a près d'un 50aine de billets intercalés désormais projetés dans 26 rubriques. Celles-ci ont été provisoirement réparties parmi les grands thèmes du blog sur votre gauche ci-dessous.
L'orientation des articles a un peu davantage suivi l'actualité des dernières semaines, tant, il me semble, celle-ci est importante pour les années et peut-être les décennies qui suivront. De nombreux choix se posent au Monde, à la France et à chacun de nous tous les jours, et ceux du moment peuvent être décisifs...
Ceci a rendu un mois d'octobre assez fourni en publications, sur les rythme de fin d'année dernière et début 2008. En parallèle une augmentation assez notoire des moyennes de connexions pour friser quotidiennement avec les 40 visiteurs, et avec des pics qui approchent le double comme ce 10 octobre dernier, où John a clos (avec moi sur MSN) une session quotidienne atteignant 82 ou 83 visites, le lendemain de mon article sur le Variétés Club de France à Compiègne.
Malheureusement, ce jour-là jen'ai pris une copie d'écran qu'après 22h40 (voir ci-contre), mais que l'analyse de Google en témoigne (ci-dessous) nous avons atteint un pic record. A noter que la Course de cotes de Pondron n'est pas mal non plus - 211 visites contre 227).
Merci à tous, visiteurs habituels et ceux d'un jour.
Du 16 août au 3 novembre : 2 mois et demi de connexions au blog
Celà dit, si la lecture des autres fait parti du jeu, ce n'est pas une fin en soi pour cette expérience. Sinon, je m'amuserai à repiquer des articles et photos people (à la perez hilton ou pire) et je jouerai au buzz artificiel régulièrement. Non, c'est plutôt un observateur que je représente par ce travail, davantage encore qu'un messager ou qu'une oeuvre critique.
Il y aura une fin à ce blog.
Il faut déterminer une limite à un projet, et c'est pourquoi depuis quelques jours apparaît dans la rubrique "bientôt sur le blog..." un timide "La fin du blog (un jour)". Ce rythme multi-hebdomadaire frise parfois le quotidien et même s'il pousse à la réflexion de son auteur il nécessite une organisation préparatoire contraignante.
Pourtant, je dois dire que je reste dans une moyenne égale ou inférieure à une heure par jour, ce qui est dans le cahier des charges si j'ose dire.
La suite...
Quelques dossiers arriveront bien avant la fin, comme une petite inspiration autour de la fameuse scission belge (un hit de ce blog) ou encore quelques souvenirs alstingeois de l'USAZ, de la poésie, de profondes réflexions politiques mêlées de fiction, des arts flags (que j'ai baptisés "peintures électroniques" dans les hobbies), une cartographie des articles, et évidemment plein de surprises (comme cette découverte de nimportequi.com qui laisse en forme et en bonne santé)...
Parce que tous les jours sur ce blog, je peux vous arracher un sourire, une larme, de la colère ou de la joie, voire même, et je vous y encourage, des réactions par vos commentaires !
A découvrir ensemble dans les prochaines semaines...
Say "Cheese..."
Pour la postérité, un auto-portrait du blog aujourd'hui (avant cet article évidemment) :
Le blog, le 3 novembre 2008
Liens surprises :
Le 100e post
Le 200e post
A plus pour encore de nouvelles aventures...
Yes, we can...
Ciao
MfS
1 commentaire:
Encore felicitations pour tout ce boulot. Je ne m'explique que mal le peu de commentaires a tes articles. Cela etan etre que le lecteur y voit avant tout un temoignage et une reflexion alternative en dehors des sentiers battus et ne souhaite pas l'entacher avec sa reflexion personnelle. Pourquoi pas?
Un futur ex-eschois qui ne parvient pas a ne pas commenter de temps a autres.
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