Dans "Scission belge 2", nous finissions par conclure que la Nouvelle Lotharingie était finalement une issue tout à fait possible aux problèmes des communautés belges. Plus tôt dans l'année, dans "Nouvelle Lotharingie : aller plus loin", nous évoquions comment la construction de cette nation fictive pouvait se faire progressivement et opportûnément, et nous y publiions un drapeau sélectionné parmi une ribambelle imaginée au fur et à mesure des réflexions.Il comprend une croix rouge sur fond partiellement jaune, comme extension du blason actuel de la Lorraine, et des triangles appuyés sur les côtés de couleurs noire (pour la terre, et l'histoire charbonnière et d'extraction de minerais commune à ses régions) et bleu foncé (comme signe d'allégeance à l'Union Européenne).
Mes chacunes des provinces constituant la nouvelle nation aura droit à son blason, comme symbole d'une identité locale, d'une histoire pas toujours commune, et comme déclinaison locale des valeurs portées par la bannière nationale. Ci-dessous les couleurs des provinces ainsi telles reconnues :
La Nouvelle Lotharingie française constituée des actuelles Régions Lorraine et Alsace, centre de la nouvelle nation.
La Nouvelle Lotharingie belfortoise constituée de l'actuel département du Territoire de Belfort, trouée certes excentrée, mais pas moins fière de rejoindre la N.L.
La Nouvelle Lotharingie sarroise constituée de l'actuel Land de Sarre, ainsi que des circonscriptions (Bezirke) de Pirmasens et de Trêves.
La Nouvelle Lotharingie luxembourgeoise comprenant le Grand-Duché du Luxembourg, son aéroport et ses structures internationals, ainqi que l'actuelle province du Luxembourg en Belgique.
La Nouvelle Lotharingie wallone qui comprend les territoires belges exclus, sans le Luxembourg ni le Hainaut belges, mais incluant la Région de Bruxelles.
La Nouvelle Lotharingie du Hainaut, comprenant la région transfrontalière à cheval sur les territoires actuels de France et de Belgique.
Ce redécoupage ne correspond pas forcément à des structures actuelles des états concernés (France, Allemagne, Luxembourg, Belgique) et pourtant historiquement il a souvent un sens. De toute façon, pour éviter toute sensibilité locale trop forte, l'histoire nous apprend aussi que re-découper permet de restructurer et de diviser un temps pour mieux régner.
Ciao
MfS
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