Rapide rappel des faits
Ma première saison (2006-2007) avait été une grande lutte face à un rival un peu inattendu : le PSG. C’est l’équipe de la capitale qui s’adjugera le titre, mais mon club (avec son effectif réel de Janvier 2007) luttera jusqu’au bout et arrachera les 2 coupes nationales, tout en atteignant une belle demi-finale face à Barcelone en ligue des champions.
Voir notamment les chroniques n°7 et n°10.
La deuxième saison (2007-2008) a donc été contée plus récemment, et relatait comment au gré de recrutements assez spectaculaires (Menez, Anelka, N’Zogbia, Mathieu, etc.) je renforçais mon équipe pour aller vers la victoire du titre national, mais aussi viser encore mieux en Ligue des Champions.
Une équipe sensationnelle
Je terminais le 19 décembre dernier par « Et c’est le FC Barcelone qui se présente maintenant. ».
En effet, toujours en course en Coupe de France pour le titre en championnat et surtout en Ligue des champions, les lyonnais comptaient remporter l’ensemble de ces 3 compétitions et le résultat ne sera pas décevant…
Alors que Lens s'adjuge le titre en L2, et que mon équipe de –18ans remporte son propre championnat ou encore que Brême s’impose en Allemagne et Milan AC en Italie, l’équipe fanion de Lyon aligne les bons résultats avec une équipe type qui est à peu près celle-ci et qui évolue en 4-5-1 :
GB : Coupet
DD : Clerc
DG : Abidal
DC : Squilacci
DC : Cris
MDC : A. Diarra
MC : Tiago
MC : Juninho (cap.)
MOD : Ménez
MOG : N’Zogbia
BT : Fred
J’ajouterai que Toulalan et Källström complètent les présences au milieu de terrain, et aideront grandement à la conquête des titres.
Une saison sensationnelle
J’affronte donc Barcelone pour cette demi-finale revanche de ma première saison, et après un match aller perdu 3-1 au Camp Nou, mon équipe reçoit les blaugrana pour devoir s’imposer au moins 2-0. Et l’exploit se réalisera sous les coups de boutoirs d’un Fred transcendé par l’absence d’Anelka (pour blessure) et la confiance qu’il a de son staff.
Le ‘truc’ de la demi-finale étant exorcisé, l’OL devra faire face au grand Réal de Madrid à Old Trafford, stade choisi pour la finale de la Champions League.
Et l’aventure continue…
Bordeaux et Marseille (avec un certain Cesar Delgado) sont distancés de plus en plus en championnat, et le succès en Ligue 1 commence a être assuré !
Le 6 mai, après une nouvelle victoire, l’OL remporte cette L1 et reprend son titre perdu l’an passé. Quelques jours plus tard, il faut pourtant se remettre en cause et défendre la Coupe.
Avant de s’opposer au Real, le club est donc confronté à Marseille en finale de la Coupe de France, et après être revenu au score dans le temps réglementaire (2-2) grâce à Fred encore, l’OL s’impose sur l’OM aux tirs aux buts et conserve donc son trophée pour la deuxième année.Les supporters fêtent l’événement comme il se doit parce qu’il consacre un nouveau management du club, pas moins rempli de succès que le précédent : le titre + la coupe, qui a réussi à faire en France ces dernières années ?
Le couronnement européen
Il est donc temps de prendre la route de Manchester, pour jouer face au grand Réal de Madrid qui lui attend de redorer son blason européen.
Je privilégie Toulalan et Belhadj à Tiago et N’Zogbia (de retour de blessure), et affronte donc des Van Nistelroy, Raul, Robinho, Roberto Carlos ou encore Woodgate et Casillas qui composent l’équipe espagnole.
Le match est serré, et mon équipe applique sa tactique mais davantage en bloc pour jouer le contre. 0-0 à la mi-temps, je renvoie la même équipe avec un message fort d’encouragement, qui sera entendu par l’inénarrable Fred, qui ouvre le score à la 54e minute.Ce score sera défendu becs et ongles jusqu’au coup de sifflet final, grâce notamment à un Belhadj de première qualité, et un Alou Diarra très bon tout au long de la compétition. Et l’OL s’impose en Champions League après ce parcours absolument fantastique par 1-0 !
Les dirigeants et les supporters exultent, mais je ne perds pas le nord et en profite pour demander immédiatement une extension du stade, parce que ce titre il faudra le défendre !
Dans ma grande joie, j’apprends également que le FC Metz remonte en L1.
Ah que ça fait du bien de remporter la ligue des champions avec un club français dans FM2007 (et j’imagine pas seulement dans ce contexte).
La partie continue
Pas encore blasé (et pourtant c'était en fin de l'année dernière), je décide de continuer ma partie, en terminant le championnat dignement en alignant plus quelques jeunes (comme Ben Arfa, Vercoutre ou Fabio Santos), mais celui qui se distingue encore en cette fin de saison exceptionnelle c’est le capitaine héros Juninho.
Sans surprise, après un triplé historique, je suis élu entraîneur de l’année en France, et je m’attends à avoir quelques sollicitations dans la part d’autres clubs.Mon meneur de jeu franco-brésilien, mais aussi Ménez (un des meilleurs espoirs de la saison) et Squilacci finissent dans l’équipe-type de l’année. Il s’agit maintenant de préparer la troisième saison, qui s’annonce avec encore de beaux challenges…
Ma gestion financière ayant été particulièrement efficace, le club finit la saison avec un beau bénéfice de 34 Mio, malgré le fait que tout mon budget transfert ait été consommé ; ce qui me permet pour l’année suivante de commencer à chasser de nouvelles têtes…
Et voilà pour ce succès fantastique, comme quoi c’est possible.
Il suffit maintenant de le faire dans la réalité !
J’ai entamé et terminé une troisième saison, et puis ai tenté une double aventure pour une quatrième année lyonnaise et en parallèle la prise en main de Metz, rétrogradé en L2 et que je reprends en main, toujours dans cette même partie.
Ciao
MfS
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